Le salut éternel

Le salut de notre âme est la question la plus importante qui se pose dans notre vie. C’est sa réponse qui déterminera le lieu où nous passerons l’éternité.

Jésus-Christ a souligné cela en disant : «Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perd son âme» (Marc 8.36). Cela devrait nous inciter fortement à résoudre cette question avec urgence.

Le salut fait référence à la vie éternelle. «Et la promesse qu'il nous a faite, c'est la vie éternelle» (1 Jean 2.25). «Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle» (Jean 3.16).

Jésus a dit : «Je vais vous préparer une place. Et, lorsque je m'en serai allé, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi, afin que là où je suis vous y soyez aussi» (Jean 14.2-3). Cela représente une vie sans fin dans un pays où «la mort ne sera plus, et il n'y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur» (Apocalypse 21.4).

Ceux qui n’ont pas le salut sont appelés perdus. À eux Jésus dira : «Retirez-vous de moi, maudits; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges. Et ceux-ci iront au châtiment éternel» (Matthieu 25.41, 46). Jésus a dit qu’à la fin il enverra ses anges qui réuniront ceux qui commettent l’iniquité «et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents» (Matthieu 13.42).

«ET COMME IL EST RÉSERVÉ AUX HOMMES DE MOURIR UNE SEUL FOIS, APRÈS QUOI VIENT LE JUGEMENT» (Hébreux 9.27).

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Le salut est en Jésus-Christ

Tous ont besoin d’un Sauveur. Marie, la mère de Jésus a dit : «Dieu, mon Sauveur» (Luc 1.47). Elle avait besoin d’un Sauveur. Tous ont besoin d’un Sauveur, car tous ont péché. L’Écriture dit qu’il «n’y a point de juste, pas même un seul» et que «tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu» (Romains 3.10, 23). Nos péchés nous séparèrent de Dieu.

Jésus-Christ est le Sauveur du monde. Il est écrit de lui : «nous l’avons entendu nous-mêmes, et nous savons qu'il est vraiment le Christ, le Sauveur du monde» (Jean 4.42). L’apôtre Pierre a dit à propos de lui : «Il n’y a de salut en aucun autre; car il n’y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés» (Actes 4.12). L’apôtre Jean a écrit : «le Père a envoyé le Fils comme Sauveur du monde» (1 Jean 4.14). Nous lisons : «nous mettons notre espérance dans le Dieu vivant, qui est le Sauveur de tous les hommes» (1 Timothée 4.10).

Jésus-Christ est mort pour nos péchés (1 Corinthiens 15.3). Jean a écrit : «non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier» (1 Jean 2.2). Quand Jésus est mort sur la croix et qu’il est ressuscité, il a payé le prix de notre salut et nous a réconciliés avec Dieu.

Nous venons au salut en nous repentant de nos péchés et en naissant de nouveau par la foi en Jésus-Christ. Jésus a dit : «Il faut que vous naissiez de nouveau» (Jean 3.7).

L’apôtre Pierre prêcha : «Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés» (Actes 3.19).

«JÉSUS-CHRIST EST VENU DANS LE MONDE POUR SAUVER LES PÉCHEURS» (1 Timothée 1.15).

Un avertissement des Écritures

Il y a des avertissements dans les Écritures que nous devons comprendre et écouter.

Le livre des Hébreux dit : «Craignons donc, tandis que la promesse d'entrer dans son repos subsiste encore, qu'aucun de vous ne s’en trouve exclu» (Hébreux 4.1). Jésus a dit : «Prenez garde que vous ne soyez séduits» (Luc 21.8).

La séduction est un danger à cause du grand séducteur qui est appelé «le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre» (Apocalypse 12.9). Il peut séduire même par la religion. L’apôtre Paul a écrit au sujet d’un autre Jésus, d’un autre esprit, d’un autre évangile. Il a écrit : «puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière… ses ministres aussi se déguisent en ministres de justice» (2 Corinthiens 11.3-4, 13-15).

La nouvelle naissance qui vient par la repentance et la foi dans Christ Jésus change la vie d’une personne. «Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles» (2 Corinthiens 5.17). La personne qui est vraiment née de nouveau a l’Esprit de Jésus-Christ. «Si quelqu'un n’a pas l'Esprit du Christ, il ne lui appartient pas» (Romains 8.9).

Quand un pécheur pénitent est né de nouveau, il se détournera du péché. L’apôtre Jean a écrit : «Celui qui pèche est du diable…Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché» (1 Jean 3.8-9).

«POURQUOI M'APPELEZ-VOUS SEIGNEUR, SEIGNEUR! ET NE FAITES-VOUS PAS CE QUE JE DIS?» (Luc 6.46).

Demeurer sauvé

La condition pour demeurer sauvé après avoir trouvé le pardon et être né de nouveau est la fidélité.

Jésus a dit : «Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples» (Jean 8.31).

Jésus a aussi enseigné : «Mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé» (Matthieu 24.13). À l’ange de l’église de Smyrne il dit : «Sois fidèle jusqu’à la mort, et je te donnerai la couronne de vie» (Apocalypse 2.10). À l’ange de l’église de Sardes il dit : «Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de vêtements blancs; je n’effacerai point son nom du livre de vie» (Apocalypse 3.5). L’apôtre Paul a écrit : «Du reste, ce qu’on demande des dispensateurs, c’est que chacun soit trouvé fidèle» (1 Corinthiens 4.2).

Un jugement sévère est rendu contre l’infidélité. Hébreux 10.26-27 nous dit : «Car, si nous péchons volontairement après avoir reçu la connaissance de la vérité, il ne reste plus de sacrifice pour les péchés, mais une attente terrible du jugement et l'ardeur d'un feu qui dévorera les rebelles.» Une transgression volontaire n’est pas couverte par le sang du Christ sans la repentance qui nous remet en communion avec lui. L’apôtre Pierre a aussi écrit : «Car mieux valait pour eux n’avoir pas connu la voie de la justice, que de se détourner, après l’avoir connue, du saint commandement qui leur avait été donné» (2 Pierre 2.21).

Jésus dit : «Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive» (Matthieu 16.24). Dieu a promis de garder ceux qui lui sont fidèles et obéissants.

«ET MAINTENANT, PETITS ENFANTS, DEMEUREZ EN LUI» (1 Jean 2.28).

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Le merveilleux plan du salut

La lumière du monde

La Bible est la parole de Dieu, la vérité éternelle. Elle contient le récit de la création, de la désobéissance de l’humain à Dieu et de l’agonie de l’humanité à cause du péché. Elle nous parle également de l’amour de Dieu pour l’humanité, au point d’élaborer un plan pour la racheter. Elle nous parle d’un Sauveur qui est né, qui est mort pour le péché de tous et qui a été ressuscité pour le salut de l’humanité. Quiconque croit son message recevra le pardon de ses péchés, la paix de l’esprit, l’amour pour tous les hommes et femmes, le pouvoir sur le péché et l’espérance vivante de la vie éternelle.

La merveilleuse création de Dieu

Dieu, le créateur de l’univers, a toujours existé. Il est partout, il est tout-puissant et omniscient. C’est par sa grande puissance que toutes les choses ont été créées. Dieu a créé cette terre recouverte d’eau, puis il a dit : « Que la terre ferme apparaisse », et cela s’est produit. Il a créé les collines et les vallées et les a couvertes d’herbe, de fleurs magnifiques et d’arbres de toutes sortes. Il a créé les oiseaux qui chantent tant de choses différentes. Dieu a créé tous les animaux, grands et petits, qui parcourent les champs et les forêts, ainsi que les petits insectes et les reptiles qui vivent sur le sol. Il a créé les lacs et les océans et toutes les créatures qui les habitent. Il a créé les continents sur lesquels vivent des gens de toutes les races. Dieu a créé le soleil pour donner de la lumière et de la chaleur et la lune pour éclairer la nuit. Il a paré le ciel de milliers d’étoiles magnifiques et scintillantes. Enfin, Dieu a formé l’homme à partir de la poussière de la terre. Il a insufflé dans ses narines le souffle de vie et l’homme est devenu une âme vivante. Dieu l’a appelé Adam.

Voyant qu’Adam avait besoin d’une aide, Dieu l’a fait tomber dans un profond sommeil. Dieu a alors pris une côte d’Adam et en a formé une femme. Adam aimait Ève et elle l’aimait aussi. Ils avaient une douce communion l’un avec l’autre. C’était le plan de Dieu pour une unité familiale.

Dieu a tout créé en six jours et s’est reposé le septième jour. Il a regardé tout ce qu’il avait fait et a vu que c’était très bon. Dieu a donc béni le septième jour et l’a sanctifié comme jour de repos pour l’homme.

Texte complet de: Le merveilleux plan du salut

La Bible parle d’un ange déchu appelé Satan, ou le diable. Il a été chassé du ciel et est la cause de tous les maux. À cause de lui, le chagrin, la souffrance, la maladie et la mort sont entrés dans le monde.

Le début tragique du péché

Dieu aimait Adam et Ève. Il a créé un bel endroit, appelé jardin d’Éden, pour qu’ils y vivent. Adam devait prendre soin de ce jardin. Dans celui-ci, il y avait de nombreuses sortes de légumes et de fruits qu’ils pouvaient manger. Il y avait un arbre appelé l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Dieu avait dit à Adam de ne pas manger de cet arbre, car le jour où il en mangerait, il mourrait. Un jour, Satan vint trouver Ève et lui dit un mensonge. Il lui dit : « Vous ne mourrez nullement [...] vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal » (Genèse 3.4-5).

En regardant le fruit de ce bel arbre, elle a vu qu’il serait bon à manger et que sa consommation apporterait la sagesse. Elle a pris du fruit, en a donné à Adam et tous deux en ont mangé. Immédiatement, ils se sont sentis très coupables dans leur cœur. Ils n’avaient jamais ressenti cela auparavant. Ils savaient qu’ils avaient fait quelque chose de très mal. Ils avaient tous deux honte d’eux-mêmes en pensant à leur désobéissance. La peur s’est emparée de leur cœur à l’idée de rencontrer Dieu. Ils se sont donc cachés parmi les arbres du jardin.

Dans la fraîcheur du jour, Dieu a appelé Adam et lui a dit : « Où es-tu ? » Ils ne pouvaient pas se cacher de Dieu, ils sont donc venus en sa présence et ont reconnu leur faute. Dieu leur a fait comprendre que c’était un grand péché de désobéir à son commandement. Il leur a dit qu’ils devaient être punis pour leur désobéissance. Ils allaient désormais connaître la souffrance et les problèmes dans leur vie. Ils allaient devoir travailler pour gagner leur vie. Leur corps deviendrait vieux et usé. Ils mourraient et retourneraient à la poussière.

Après les avoir chassés de ce beau jardin, Dieu a placé des chérubins et une épée flamboyante pour les empêcher de manger de l’arbre de vie. Ils ont commencé à comprendre les conséquences du péché et le grand chagrin qu’il entraîne.

Le triste résultat du péché

Adam et Ève regrettaient beaucoup d’avoir désobéi à Dieu. Malgré leur péché, Dieu les aimait toujours. Il a promis d’envoyer un Rédempteur pour le salut de l’humanité.

Caïn et Abel étaient les deux premiers fils d’Adam et d’Ève. Un jour, ils ont apporté une offrande au Seigneur. Caïn a apporté de la nourriture qu’il avait produite. Abel a apporté un agneau de choix de son troupeau et l’a sacrifié en versant son sang. Le sacrifice d’Abel était agréable à Dieu, mais Caïn et son offrande ne l’étaient pas.

Lorsque Caïn a remarqué que Dieu était satisfait d’Abel, la jalousie et la haine à l’égard de ce dernier sont entrées dans son cœur. Un jour, alors qu’ils étaient ensemble dans les champs, Caïn s’est levé et a tué son frère Abel. Dieu a demandé à Caïn : « Où est Abel, ton frère ? » Ne voulant pas dire la vérité, Caïn a répondu : « Je ne sais ; suis-je le gardien de mon frère, moi ? » (Genèse 4.9). Caïn n’avait pas suivi les instructions du Seigneur. Avant qu’il ne tue Abel, Dieu l’avait prévenu que s’il agissait bien, il serait accepté. Si seulement il avait changé d’attitude et aimé son frère ! Une fois de plus, le péché a séparé l’homme de la présence de Dieu. Caïn est devenu un fugitif et un vagabond.

Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils

« C’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur, vous est né » (Luc 2.11).

Après la mort d’Abel et le départ de Caïn, Adam et Ève ont eu un autre fils. Il s’appelait Seth. Seth était un homme qui craignait Dieu. Dieu a béni les descendants de Seth. Ils ont entendu et cru aux merveilleuses promesses de Dieu concernant un Sauveur qui les délivrerait un jour. Abraham, en particulier, a cru Dieu et a donc été appelé l’ami de Dieu. Il a été dit à Abraham que toutes les familles de la terre seraient bénies par sa descendance.

Plusieurs centaines d’années plus tard, Dieu a tenu sa promesse d’envoyer un Sauveur dans le monde. Cela s’est passé de manière miraculeuse, dans la petite ville de Bethléem en Judée. Là, dans une étable, un bébé est né de Marie, qui était vierge (Luc 2.1-7). Un ange a dit à Marie que l’enfant devait s’appeler Jésus (ce qui signifie Sauveur). Il deviendrait un grand maître qui enseignerait beaucoup de choses sur Dieu aux gens. Jésus a grandi comme les autres enfants. À l’âge de douze ans, il comprenait la parole de Dieu mieux que beaucoup de docteurs de la loi de Jérusalem. Il semblait tout connaître de la loi et des prophètes. Personne ne pouvait lui poser une question à laquelle il ne pouvait répondre.

Jésus s’intéressait beaucoup aux besoins de son peuple. À l’âge de trente ans, il a commencé à enseigner dans les synagogues. Un jour, il a lu une prophétie de l’Ancien Testament concernant le Messie à venir. Après avoir terminé sa lecture, il a dit au peuple : « Cette parole de l’Écriture est accomplie aujourd’hui, et vous l’entendez » (Luc 4.21). Il a enseigné le peuple avec autorité. Il prêchait que le royaume de Dieu était proche et que la repentance était nécessaire pour entrer dans le royaume. Il a enseigné aux gens à adorer Dieu avec humilité et sincérité. Il a réprimandé les orgueilleux et les incrédules à cause de leurs péchés, et il a prêché l’évangile de l’amour aux pauvres et aux nécessiteux.

Jésus offre la vie éternelle

Jésus a dit : « Je suis la résurrection et la vie ; celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort » (Jean 11.25).

Jésus a fait de nombreux miracles, prouvant aux gens qu’il était le Sauveur promis, envoyé par Dieu. Il a guéri les malades, rendu la vue aux aveugles, fait entendre les sourds, chassé les démons et ressuscité les morts. Il a marché sur les eaux et, par ses paroles, a calmé la mer agitée. Il a parlé à un figuier qui, le lendemain, a été retrouvé desséché par les racines. Il a nourri plus de cinq mille personnes affamées avec cinq pains et deux poissons. Lorsque tous avaient mangé à leur faim, il restait encore douze paniers de nourriture. Les pêcheurs attrapaient de grandes quantités de poissons lorsque les filets étaient jetés sur son ordre. Un jour, Jésus a rencontré dix lépreux qui avaient entendu parler de sa renommée. Ils se sont écriés : « Maître, aie pitié de nous. » Par sa parole, ils ont été guéris.

De grandes foules suivaient Jésus chaque jour, qu’il soit en ville ou sur les routes. Les gens étaient bénis par ses paroles aimables, sa gentillesse, sa compassion et les miracles qu’il accomplissait.

Il a commencé à dire au peuple qu’il était le Fils de Dieu et que Dieu était son Père. Tous ceux qui ont cru à ses paroles ont été bénis. Il a dit à ceux qui croyaient qu’ils étaient enfants de Dieu.

Jésus a dit à ses disciples : « Je vais vous préparer une place. Et quand je serai parti, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et vous prendrai avec moi, afin qu’où je serai, vous y soyez aussi » (Jean 14.2-3). Cette place au ciel est pour tous les vrais chrétiens.

« Venez, vous qui êtes bénis de mon Père, possédez en héritage le royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde » (Matthieu 25.34).

Jésus est mort pour nos péchés

« Et quand ils furent arrivés au lieu appelé Calvaire, ils le crucifièrent là… » (Luc 23.33).

Les scribes et les pharisiens étaient très irrités par Jésus et son enseignement. Il leur reprochait souvent de rechercher les honneurs et de se livrer à des pratiques illicites pour gagner de l’argent. Ils étaient très jaloux et envieux de Jésus, parce que tant de gens croyaient en lui, le suivaient et le louaient. Ils craignaient que le peuple ne fasse de Jésus son roi.

Ils ont essayé de faire dire ou faire à Jésus des choses qui feraient perdre la foi aux gens, mais Jésus était trop sage. Leur haine et leur colère se sont accrues au fur et à mesure que la popularité de Jésus augmentait. Elles sont devenues si grandes qu’ils ont projeté de le mettre à mort.

Ils ont traîné Jésus devant les tribunaux et l’ont accusé d’être un malfaiteur et un blasphémateur. Ils ont porté de nombreuses fausses accusations contre lui. Puis ils l’ont emmené chez Ponce Pilate, le gouverneur romain de Judée. Pilate n’a rien trouvé à redire à Jésus et a décidé de le relâcher. Mais les accusateurs de Jésus se sont transformés en une foule en colère et ont crié : « Crucifiez-le ! Crucifiez-le ! » Pilate a entendu leurs cris de colère et leurs menaces ; il a cédé à leurs exigences et a livré Jésus pour être exécuté. Ils ont mis une couronne d’épines sur sa tête et, par dérision, l’ont appelé roi. Ils lui ont craché au visage et l’ont battu cruellement. Enfin, ils l’ont cloué sur la croix et l’ont laissé mourir.

Jésus a été mis à mort alors qu’il était innocent, tout comme l’agneau qu’Abel avait offert sur un autel des centaines d’années auparavant. Abel avait offert son agneau comme symbole de l’agneau de Dieu qui mourrait pour les péchés du monde. Les prophètes d’autrefois avaient également prédit la souffrance et la mort de Jésus. Jean-Baptiste a dit : « Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde » (Jean 1.29). « Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3.16).

Jésus est ressuscité des morts pour nous libérer

« Il n’est pas ici, car il est ressuscité, comme il l’avait dit. Venez, voyez le lieu où le Seigneur était couché » (Matthieu 28.6).

Le troisième jour après la mort et l’ensevelissement de Jésus, qui était le premier jour de la semaine, plusieurs femmes se sont rendues au tombeau pour oindre son corps. Comme il était très tôt le matin, elles ont été surprises de trouver un tombeau vide. Le corps de Jésus n’était plus là ! Elles avaient le cœur troublé. Soudain, deux anges se présentèrent à elles, en vêtements éclatants, et dirent : « Pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui qui est vivant ? Il n’est point ici, mais il est ressuscité » (Luc 24.5-6). Elles se sont empressées de retourner raconter aux disciples ce qu’elles avaient vu et entendu. Les disciples n’ayant pas cru à leur histoire, Pierre et Jean sont allés enquêter par eux-mêmes. Eux aussi ont trouvé le tombeau vide. Ils sont entrés et ont vu les vêtements de lin et la serviette bien pliée qui avait été enroulée autour de la tête de Jésus. En voyant ces choses, ils ont cru à l’histoire des femmes. Le soir du même jour, les disciples étaient réunis derrière des portes closes, car ils craignaient les Juifs. Soudain, Jésus s’est présenté au milieu d’eux et leur a dit : « La paix soit avec vous ». Il leur a montré ses mains et son côté transpercés. En voyant le Seigneur, ils se sont réjouis et ont cru que c’était le même Jésus qui avait été crucifié et qui était ressuscité des morts. Après cela, Jésus s’est montré à de nombreuses personnes comme preuve de sa résurrection.

Le matin où Jésus est ressuscité des morts reste le jour le plus glorieux de l’histoire ! Ce jour-là, le merveilleux plan de salut de Dieu a été achevé. Ce plan de salut opère un changement dans le cœur et la vie des hommes par la grâce de Dieu, par la foi en la mort et la résurrection de Jésus. « Si donc quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature ; les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles » (2 Corinthiens 5.17). Désormais, tous ceux qui reçoivent Jésus dans leur cœur et le suivent docilement toute leur vie ressusciteront et vivront éternellement au ciel. Jésus a dit : « parce que je vis, et que vous vivrez » (Jean 14.19).

Ce message parle-t-il à votre cœur ? Quelle est votre réponse ? Allez-vous vous repentir et croire à l’Évangile ? « Il n’y a de salut en aucun autre ; car sous le ciel il n’y a pas un autre nom, qui ait été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4.12). Ne tardez pas. Venez à Jésus aujourd’hui.

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La chambre

Dans la sainte Bible il est écrit : «Et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant Dieu. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs œuvres, d’après ce qui était écrit dans ces livres» (Apocalypse 20.12). Ce passage nous montre que Dieu enregistre nos actions.

Joshua Harris, un jeune homme de l’État du Maryland aux États-Unis, passait quelques jours au Porto Rico où une nuit il fit un rêve. En y réfléchissant après coup il sentit que Dieu lui avait fait faire ce rêve pour le réprimander pour son manque de fidélité. Le rêve en question lui rappela la puissance de Jésus et de son sang qui transforment notre vie. Nous aimerions partager son récit avec vous.

* * * * *

(LA CHAMBRE)

Quelque part entre l’éveil et les rêves, je me suis trouvé en personne dans la chambre. Il ne s’y trouvait rien de remarquable, à l’exception d’un mur qui était couvert de classeurs de fiches. Ils ressemblaient à ceux des bibliothèques qui regroupent des titres selon des auteurs ou selon des sujets dans l’ordre alphabétique. Cependant, ces fichiers qui s’étiraient du sol au plafond et qui semblaient illimités dans l’une ou l’autre direction, comportaient des entêtes très divers. Ce qui a d’abord attiré mon attention comme je m’approchais du mur c’est celui qui était marqué «Filles que j’ai aimées.» Alors, j’ai ouvert ce fichier en commençant à le feuilleter. Soudain je l’ai refermé : j’étais choqué, car je me rendais compte que je reconnaissais chaque nom.

Alors, sans qu’on me l’ait dit, je sus exactement où j’étais. Cette pièce sans vie, avec ses petits fichiers, était une sorte de catalogue de ma vie où mes actions de chaque instant étaient inscrites. Les petites comme les grandes actions y étaient inscrites en tant de détails qu’il était impossible à ma mémoire de l’égaler.

Ainsi, le sens du prodige et le sens de la curiosité se mêlaient avec l’horreur et me troublaient lorsque j’ouvrais au hasard les fichiers pour en découvrir le contenu. Certains fichiers me donnaient le sentiment de joie et de bons souvenirs, tandis que d’autres me faisaient honte et provoquaient le regret. Ces derniers sentiments étaient si intenses que je regardais par-dessus mon épaule pour voir si quelqu’un était en train de me surveiller. Un fichier intitulé «Amis» était à côté de celui intitulé  «Amis que j’ai trahis.»

Texte complet de: La chambre

Les titres des fichiers allaient du banal jusqu’au bizarre absolu. Par exemple, «Livres que j’ai lus», «Mensonges que j’ai racontés», «Réconfort que j’ai apporté à quelqu’un», «Plaisanteries qui m’ont amusé.» D’autres titres, par ailleurs, étaient presque drôles par leur précision, comme «Choses que j’avais criées à mes frères.» D’autres ne pouvaient pas m’amuser «Choses que j’ai marmonnées contre mes parents.» Les contenus de ces fichiers ne me laissaient jamais indifférent. Souvent, contrairement à mes attentes, il y avait beaucoup de cartes dans ces fichiers. Parfois, il y en avait moins que j’avais espéré.

J’étais bouleversé par la dimension réelle de la vie que j’avais menée jusque-là. Je me demandais comment dans mes vingt ans d’existence il m’avait été possible d’écrire chacun de ces milliers, ou probablement ces millions, de cartes. Cependant, chaque carte confirmait cette vérité. Car chaque carte était écrite de ma main et chaque carte portait ma signature.

Quand j’ai sorti le fichier intitulé «Chansons que j’ai écoutées», je me suis rendu compte que les fichiers grossissaient afin de renfermer leurs contenus. Les cartes étaient empaquetées de façon très serrée dans le fichier, mais même après deux ou trois mètres d’étalage, je n’arrivais pas à trouver l’autre bout du fichier. Je l’ai refermé, embarrassé, non pas vraiment par la qualité de la musique, mais plutôt par le temps gaspillé que ce fichier représentait.

Arrivant au fichier intitulé  «Pensées lascives», je peux dire que j’ai eu froid dans le dos. Je l’ai sorti de seulement un pouce, sans avoir l’intention de vérifier sa grandeur. J’ai retiré une carte et j’ai frémi quand j’ai regardé son contenu détaillé. J’étais écœuré de penser qu’un moment pareil y avait été inscrit.

Soudain, j’ai ressenti une sorte de rage animale m’envahir. À ce moment-là, une seule pensée me hantait : «Personne ne doit jamais voir ces cartes! Je dois les détruire!», me disais-je. Pris de frénésie, j’ai sorti le fichier. Sa taille ne m’importait plus à cet instant-là. Il fallait que je le vide et que je brûle les cartes à tout prix. Toutefois, comme je tenais ce fichier d’une extrémité et commençais à le cogner contre le sol, je m’aperçus qu’il m’était impossible d’en déloger une seule carte. En désespoir de cause, j’ai retiré une carte. En essayant de la déchiqueter, je me suis rendu compte qu’elle était dure comme de l’acier.

Je me trouvais donc vaincu et complètement impuissant. J’ai remis le fichier dans son emplacement initial. Par la suite, j’ai posé mon front contre le mur en poussant un long soupir de défaite et d’abandon. Puis, j’ai vu un fichier portant le titre «Personnes avec qui j’ai partagé l’évangile.» Sa poignée brillait plus que celles des autres fichiers qui l’entouraient et était presque inutilisée. J’ai sorti ce fichier et une petite boîte, ne mesurant que six ou sept centimètres de long, tomba entre mes mains. Je pouvais compter les cartes qu’elle contenait sur les doigts d’une main.

Alors des larmes me vinrent aux yeux. Je me suis mis à pleurer. Les sanglots étaient si aigus que j’avais mal à l’estomac et tout mon corps en était secoué. Je suis tombé à genoux en pleurant. Je pleurais de honte, de la honte accablante de toutes mes actions. Les rangées de classeurs semblaient vaciller devant mes yeux inondés de larmes.  «Personne ne doit jamais savoir que cette chambre existe. Je dois la verrouiller et dissimuler la clé» me dis-je.

Mais pendant que mes larmes s’asséchaient, j’ai vu quelqu’un dans la chambre. Je me disais : «Non, de grâce, pas lui et en tout cas, pas ici! N’importe qui, mais pas Jésus!»

Je l’ai regardé sans pouvoir bouger pendant qu’il commençait à ouvrir les fichiers et à lire les cartes. J’étais incapable d’observer sa réaction. Lorsque je m’efforçais de lever les yeux et regarder sa face, j’ai vu une tristesse plus profonde que la mienne sur son visage. Intuitivement il semblait trouver les pires boîtes à fichiers. Pourquoi devait-il les lire tous?

Enfin, il s’est tourné et m’a regardé, là où j’étais, de l’autre côté de la pièce. Son regard rempli de pitié s’était posé sur moi. Étrangement,  cette pitié ne m’irritait pas du tout. À ce moment-là, j’ai baissé la tête, en cachant mon visage et le couvrant de mes mains, et j’ai commencé à pleurer de plus belle. Il aurait pu me dire toutes sortes de réprimandes. Mais Jésus, sans dire un mot, s’est tout simplement mis à pleurer avec moi.

Il se leva, se dirigeant de nouveau vers le mur qui portait les fichiers. En commençant à l’autre bout de la pièce il sortit un fichier et commença à signer son nom au-dessus de mon nom sur chacune des cartes.

«Non!» m’écriai-je en m’avançant dans sa direction. «Non, non», c’était tout ce que je pouvais dire en lui retirant la carte. Son nom ne doit jamais figurer sur ces cartes. Mais il y était écrit, en rouge. Un rouge si riche, si foncé et si vivant. Le nom de Jésus avait couvert mon nom. Il était écrit avec son sang.

Il reprit tendrement la carte. En affichant un triste sourire, il continua de signer les autres. Je ne comprendrai jamais comment il a pu y arriver si rapidement. L’instant d’après, il m’a semblé l’entendre refermer le dernier fichier, puis il est revenu auprès de moi. Il plaça sa main sur mon épaule en disant : «C’est accompli.»

Alors je me suis levé et il m’a mené hors de la pièce. La porte de la pièce ne portait pas de serrure, car il restait encore des cartes vierges à remplir.

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Ne vous êtes-vous jamais demandé comment Dieu contemple votre vie? Jésus nous dit : «Au jour du jugement, les hommes rendront compte de toute parole vaine qu’ils auront proférée» (Matthieu 12.36). Pour être honnêtes avec nous-mêmes, nous devons admettre avec regret et tristesse que nous avons failli dans nos pensées et dans nos gestes. Un jour, nous aussi rougirons de honte à cause de nos pensées dissimulées et nos actes posés en secret. La Bible dit en Romains 2.16 : «Dieu jugera par Jésus Christ les actions secrètes des hommes.» L’apôtre Pierre prêchait : «Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés, afin que des temps de rafraîchissement viennent de la part du Seigneur» (Actes 3.19). Jésus a-t-il effacé vos péchés, ou sont-ils en train de vous suivre encore aujourd’hui?

Voudriez-vous être libéré? Êtes-vous miné par les pensées et les actions du passé? Nos péchés pèsent lourdement sur nos cœurs et nos vies. La Bible dit : «Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n’est point en nous» (1 Jean 1.8). Et elle ajoute : «Car le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur» (Romains 6.23).

Jésus nous offre le pardon. Il est venu sur terre et a versé son sang pour tous les pécheurs. Le plan du salut est maintenant accompli. Voudriez-vous être guéri? «Si donc le Fils vous affranchit, vous serez vraiment libres» (Jean 8.36). (Psaume 51) Venez donc à Jésus maintenant! Repentez-vous et confessez vos péchés. «Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité» (1 Jean 1.9). Faites confiance à Jésus pour qu’il vous amène à une vie épanouie avec lui. Il vous indiquera la voie à suivre dans votre vie quotidienne.

 

(Traduit de l’anglais par La Société Évangélique de Bibles et Traités)

THE ROOM – Copyright 1995

New Attitudes/Joshua Harris

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