Le pardon

Êtes-vous pardonné ? Votre avenir éternel dépend de la réponse à cette question grave. La Bible nous enseigne qu’« il n’y a point de juste, non pas même un seul » (Romains 3.10). Le verset 23 du même chapitre précise : « puisque tous ont péché, et sont privés de la gloire de Dieu ». Nous devons trouver le pardon de Dieu si nous voulons être sauvés des conséquences du péché. Un jour, nous rencontrerons le Seigneur en jugement. « Car il nous faut tous comparaître devant le tribunal de Christ, afin que chacun reçoive selon le bien ou le mal qu’il aura fait, étant en son corps » (2 Corinthiens 5.10). Nous sommes face à l’éternité, et il est donc impératif que nous sachions si nous sommes pardonnés. Si nous le sommes, nous serons admis au ciel. Si nous ne le sommes pas, nous serons condamnés à l’enfer éternel avec le diable et ses anges (Matthieu 25.31-34, 41).

Le pardon par le sang de Christ

Alors, que pouvons-nous faire pour sauver notre âme ? Nous ne pouvons pas nous sauver nous-mêmes, mais nous pouvons accepter le plan que Dieu a prévu pour nous. Nous comprendrons mieux ce plan si nous considérons ce qu’il a montré à son peuple, les Israélites, avant la venue de Jésus-Christ. Dieu leur a dit de sacrifier des animaux. Les agneaux qui étaient tués symbolisaient l’Agneau parfait de Dieu, Jésus-Christ, qui rachèterait tous les hommes en versant son sang pour leurs péchés. L’effusion de sang a également aidé les gens à comprendre la gravité du péché. Lire Éphésiens 1.7 : « En qui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon les richesses de sa grâce ».

« Sachant que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères, non par des choses périssables… Mais par un précieux sang, comme d’un Agneau sans défaut et sans tache » (1 Pierre 1.18-19). Notre pardon vient de la mort de Christ et de l’effusion de son sang pour les péchés de l’homme (Hébreux 9.22).

Texte complet de: Le pardon

Notons qu’à cause de nos péchés, nous méritons la mort éternelle. Mais à cause de son amour et de sa miséricorde envers nous, Jésus est mort à notre place, afin que nous puissions être pardonnés et que nos transgressions soient couvertes.

La rancune entraîne la servitude

Lorsque nous faisons l’expérience du pardon gracieux de Christ, nous recevons la paix. Pour conserver cette paix, il est nécessaire de pardonner aux autres. Christ nous dit en Matthieu 6.14-15 : « Car si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père céleste vous pardonnera aussi. Mais si vous ne pardonnez pas aux hommes leurs offenses, votre Père ne pardonnera pas non plus les vôtres. »

Jésus a raconté une parabole qui nous enseigne les dangers de la rancune. Il s’agissait d’un roi qui voulait vérifier les comptes de ses serviteurs. Il a découvert qu’un de ses serviteurs lui devait une très grosse somme d’argent, équivalente à plusieurs années de salaire. Le roi a dit au serviteur que lui, sa famille et tous ses biens seraient vendus. Le serviteur demanda grâce et le roi lui remit sa dette. Plus tard, ce serviteur trouva un de ses compagnons de service qui lui devait une petite somme, environ le salaire d’une journée. Il dit à son compagnon de service qu’il devait payer la totalité de sa dette. Son compagnon lui demanda grâce, mais le serviteur ne voulut pas lui remettre sa dette. Lorsque le roi l’apprit, il appela son serviteur auprès de lui. Il lui dit : « Je t’ai pardonné quand tu me l’as demandé. N’aurais-tu pas dû faire de même ? » Le roi l’a alors envoyé en prison jusqu’à ce que la dette soit payée. Jésus a ensuite dit que notre Père céleste ne nous pardonnera pas si nous ne pardonnons pas aux autres. (Matthieu 18.23-35)

Le fait de haïr quelqu’un, d’être offensé ou d’entretenir de la rancune a de nombreux effets négatifs. La personne qui laisse de telles attitudes s’installer dans sa vie devient malheureuse. Sa santé en souffre, de même que ses relations.

Lorsque nous ne pardonnons pas aux autres, cela crée un esclavage dans notre âme qui pourrait être comparé à l’esclavage de personnes ou à la dépendance à une substance. Cette rancune provoque une amertume en nous. Elle nous enferme dans le chagrin, la colère et les querelles ; elle exclut la joie, l’amour et la communion. Cette amertume est le résultat d’un esprit orgueilleux qui cherche à compter les points et à se venger pour des torts perçus ou réels. Si nous refusons de laisser tomber nos sentiments offensés, ils finiront par nous contrôler. Nous serons asservis à ces sentiments, ainsi qu’à l’esclavage du péché devant Dieu.

Le pardon inconditionnel

Jésus a enseigné que la seule façon pour nous d’accorder le pardon aux autres est de le faire de la même manière qu’il nous a pardonné. Nous devons pardonner indépendamment de la nature ou de la gravité de l’offense qui nous a été faite, du nombre d’offenses ou du caractère de l’offenseur. Nous devons faire preuve d’une miséricorde inconditionnelle comme Dieu a fait preuve de miséricorde à notre égard. Lorsque nous nous humilions et que nous pardonnons aux autres, Dieu nous ouvre la voie pour que nous puissions demander le pardon pour nos propres erreurs et péchés. Dieu pardonne pleinement à tous ceux qui viennent à lui avec un esprit humble et repentant.

En suivant le Saint-Esprit, nous connaîtrons la vérité, et la vérité nous rendra libres (Jean 8.32). Le verset 36 dit : « Si donc le Fils vous affranchit, vous serez véritablement libres. »

« Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez point vos cœurs » (Hébreux 3.15). En Matthieu 11.28, Jésus a dit : « Venez à moi… et je vous soulagerai ». En suivant ces enseignements, nous serons pardonnés et nous pourrons pardonner aux autres.

Venir à Dieu

La question est maintenant de savoir comment nous venons à Dieu. La réponse se trouve dans la Bible. « Personne ne peut venir à moi, si le Père qui m’a envoyé ne l’attire » (Jean 6.44). Dieu, par l’intermédiaire de son Saint-Esprit, nous fait prendre conscience que nous sommes pécheurs et que nous avons besoin d’un Sauveur. Parfois, nous ne comprenons pas pleinement l’appel de Dieu. Nous pouvons commencer à ressentir un sentiment de vide et de solitude dans notre cœur : un besoin de quelque chose, un sentiment de ne pas être à la hauteur, une conviction que nous sommes perdus.

Lorsque nous prenons conscience de cette agitation dans notre esprit, nous devons ouvrir notre cœur à Dieu pour qu’il nous guide. Le poids du péché devient très lourd, et notre cœur est pris de remords à cause de notre vie pécheresse passée. Dieu veut que nous lui abandonnions notre vie dans un véritable repentir. Lorsque Dieu voit notre cœur brisé et contrit et notre volonté de faire pleinement sa volonté, il pardonne notre vie de péché passée et nous recevons le pardon et la paix (Psaume 34.18 ; Psaume 51.16-17). Oh, comme nous sommes heureux maintenant, et nous voulons annoncer aux autres ce que Christ a fait dans notre cœur !

Cette liberté n’est pas le fruit d’un raisonnement humain. C’est une œuvre du Saint-Esprit dans le cœur qui nous convertit à une vie nouvelle. Grâce à la puissance du Saint-Esprit, nous avons la foi nécessaire pour faire confiance à Dieu, afin de pouvoir renoncer à notre propre volonté et pardonner aux autres. 2 Corinthiens 5.17 dit : « Si donc quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature ; les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. »

La manière biblique de pardonner est magnifique. Une foi confiante dans le sacrifice de Jésus, associée à un abandon complet à Dieu et à sa volonté, enlève la culpabilité de notre cœur. Nos péchés sont entièrement couverts par le sang de Jésus-Christ. Le pardon que Dieu nous accorde efface nos offenses et nos blessures. Il efface l’ardoise et oublie nos péchés : « je ne me souviendrai plus de leurs péchés, ni de leurs iniquités » (Hébreux 8.12). Quelle merveilleuse liberté nous pouvons vivre lorsque Dieu pardonne nos péchés et que nous pouvons pardonner à notre prochain. Vous aussi, vous pouvez en faire l’expérience dans votre cœur et dans votre vie. Venez au Seigneur aujourd’hui !

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Le merveilleux plan du salut

La lumière du monde

La Bible est la parole de Dieu, la vérité éternelle. Elle contient le récit de la création, de la désobéissance de l’humain à Dieu et de l’agonie de l’humanité à cause du péché. Elle nous parle également de l’amour de Dieu pour l’humanité, au point d’élaborer un plan pour la racheter. Elle nous parle d’un Sauveur qui est né, qui est mort pour le péché de tous et qui a été ressuscité pour le salut de l’humanité. Quiconque croit son message recevra le pardon de ses péchés, la paix de l’esprit, l’amour pour tous les hommes et femmes, le pouvoir sur le péché et l’espérance vivante de la vie éternelle.

La merveilleuse création de Dieu

Dieu, le créateur de l’univers, a toujours existé. Il est partout, il est tout-puissant et omniscient. C’est par sa grande puissance que toutes les choses ont été créées. Dieu a créé cette terre recouverte d’eau, puis il a dit : « Que la terre ferme apparaisse », et cela s’est produit. Il a créé les collines et les vallées et les a couvertes d’herbe, de fleurs magnifiques et d’arbres de toutes sortes. Il a créé les oiseaux qui chantent tant de choses différentes. Dieu a créé tous les animaux, grands et petits, qui parcourent les champs et les forêts, ainsi que les petits insectes et les reptiles qui vivent sur le sol. Il a créé les lacs et les océans et toutes les créatures qui les habitent. Il a créé les continents sur lesquels vivent des gens de toutes les races. Dieu a créé le soleil pour donner de la lumière et de la chaleur et la lune pour éclairer la nuit. Il a paré le ciel de milliers d’étoiles magnifiques et scintillantes. Enfin, Dieu a formé l’homme à partir de la poussière de la terre. Il a insufflé dans ses narines le souffle de vie et l’homme est devenu une âme vivante. Dieu l’a appelé Adam.

Voyant qu’Adam avait besoin d’une aide, Dieu l’a fait tomber dans un profond sommeil. Dieu a alors pris une côte d’Adam et en a formé une femme. Adam aimait Ève et elle l’aimait aussi. Ils avaient une douce communion l’un avec l’autre. C’était le plan de Dieu pour une unité familiale.

Dieu a tout créé en six jours et s’est reposé le septième jour. Il a regardé tout ce qu’il avait fait et a vu que c’était très bon. Dieu a donc béni le septième jour et l’a sanctifié comme jour de repos pour l’homme.

Texte complet de: Le merveilleux plan du salut

La Bible parle d’un ange déchu appelé Satan, ou le diable. Il a été chassé du ciel et est la cause de tous les maux. À cause de lui, le chagrin, la souffrance, la maladie et la mort sont entrés dans le monde.

Le début tragique du péché

Dieu aimait Adam et Ève. Il a créé un bel endroit, appelé jardin d’Éden, pour qu’ils y vivent. Adam devait prendre soin de ce jardin. Dans celui-ci, il y avait de nombreuses sortes de légumes et de fruits qu’ils pouvaient manger. Il y avait un arbre appelé l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Dieu avait dit à Adam de ne pas manger de cet arbre, car le jour où il en mangerait, il mourrait. Un jour, Satan vint trouver Ève et lui dit un mensonge. Il lui dit : « Vous ne mourrez nullement [...] vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal » (Genèse 3.4-5).

En regardant le fruit de ce bel arbre, elle a vu qu’il serait bon à manger et que sa consommation apporterait la sagesse. Elle a pris du fruit, en a donné à Adam et tous deux en ont mangé. Immédiatement, ils se sont sentis très coupables dans leur cœur. Ils n’avaient jamais ressenti cela auparavant. Ils savaient qu’ils avaient fait quelque chose de très mal. Ils avaient tous deux honte d’eux-mêmes en pensant à leur désobéissance. La peur s’est emparée de leur cœur à l’idée de rencontrer Dieu. Ils se sont donc cachés parmi les arbres du jardin.

Dans la fraîcheur du jour, Dieu a appelé Adam et lui a dit : « Où es-tu ? » Ils ne pouvaient pas se cacher de Dieu, ils sont donc venus en sa présence et ont reconnu leur faute. Dieu leur a fait comprendre que c’était un grand péché de désobéir à son commandement. Il leur a dit qu’ils devaient être punis pour leur désobéissance. Ils allaient désormais connaître la souffrance et les problèmes dans leur vie. Ils allaient devoir travailler pour gagner leur vie. Leur corps deviendrait vieux et usé. Ils mourraient et retourneraient à la poussière.

Après les avoir chassés de ce beau jardin, Dieu a placé des chérubins et une épée flamboyante pour les empêcher de manger de l’arbre de vie. Ils ont commencé à comprendre les conséquences du péché et le grand chagrin qu’il entraîne.

Le triste résultat du péché

Adam et Ève regrettaient beaucoup d’avoir désobéi à Dieu. Malgré leur péché, Dieu les aimait toujours. Il a promis d’envoyer un Rédempteur pour le salut de l’humanité.

Caïn et Abel étaient les deux premiers fils d’Adam et d’Ève. Un jour, ils ont apporté une offrande au Seigneur. Caïn a apporté de la nourriture qu’il avait produite. Abel a apporté un agneau de choix de son troupeau et l’a sacrifié en versant son sang. Le sacrifice d’Abel était agréable à Dieu, mais Caïn et son offrande ne l’étaient pas.

Lorsque Caïn a remarqué que Dieu était satisfait d’Abel, la jalousie et la haine à l’égard de ce dernier sont entrées dans son cœur. Un jour, alors qu’ils étaient ensemble dans les champs, Caïn s’est levé et a tué son frère Abel. Dieu a demandé à Caïn : « Où est Abel, ton frère ? » Ne voulant pas dire la vérité, Caïn a répondu : « Je ne sais ; suis-je le gardien de mon frère, moi ? » (Genèse 4.9). Caïn n’avait pas suivi les instructions du Seigneur. Avant qu’il ne tue Abel, Dieu l’avait prévenu que s’il agissait bien, il serait accepté. Si seulement il avait changé d’attitude et aimé son frère ! Une fois de plus, le péché a séparé l’homme de la présence de Dieu. Caïn est devenu un fugitif et un vagabond.

Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son fils

« C’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur, vous est né » (Luc 2.11).

Après la mort d’Abel et le départ de Caïn, Adam et Ève ont eu un autre fils. Il s’appelait Seth. Seth était un homme qui craignait Dieu. Dieu a béni les descendants de Seth. Ils ont entendu et cru aux merveilleuses promesses de Dieu concernant un Sauveur qui les délivrerait un jour. Abraham, en particulier, a cru Dieu et a donc été appelé l’ami de Dieu. Il a été dit à Abraham que toutes les familles de la terre seraient bénies par sa descendance.

Plusieurs centaines d’années plus tard, Dieu a tenu sa promesse d’envoyer un Sauveur dans le monde. Cela s’est passé de manière miraculeuse, dans la petite ville de Bethléem en Judée. Là, dans une étable, un bébé est né de Marie, qui était vierge (Luc 2.1-7). Un ange a dit à Marie que l’enfant devait s’appeler Jésus (ce qui signifie Sauveur). Il deviendrait un grand maître qui enseignerait beaucoup de choses sur Dieu aux gens. Jésus a grandi comme les autres enfants. À l’âge de douze ans, il comprenait la parole de Dieu mieux que beaucoup de docteurs de la loi de Jérusalem. Il semblait tout connaître de la loi et des prophètes. Personne ne pouvait lui poser une question à laquelle il ne pouvait répondre.

Jésus s’intéressait beaucoup aux besoins de son peuple. À l’âge de trente ans, il a commencé à enseigner dans les synagogues. Un jour, il a lu une prophétie de l’Ancien Testament concernant le Messie à venir. Après avoir terminé sa lecture, il a dit au peuple : « Cette parole de l’Écriture est accomplie aujourd’hui, et vous l’entendez » (Luc 4.21). Il a enseigné le peuple avec autorité. Il prêchait que le royaume de Dieu était proche et que la repentance était nécessaire pour entrer dans le royaume. Il a enseigné aux gens à adorer Dieu avec humilité et sincérité. Il a réprimandé les orgueilleux et les incrédules à cause de leurs péchés, et il a prêché l’évangile de l’amour aux pauvres et aux nécessiteux.

Jésus offre la vie éternelle

Jésus a dit : « Je suis la résurrection et la vie ; celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort » (Jean 11.25).

Jésus a fait de nombreux miracles, prouvant aux gens qu’il était le Sauveur promis, envoyé par Dieu. Il a guéri les malades, rendu la vue aux aveugles, fait entendre les sourds, chassé les démons et ressuscité les morts. Il a marché sur les eaux et, par ses paroles, a calmé la mer agitée. Il a parlé à un figuier qui, le lendemain, a été retrouvé desséché par les racines. Il a nourri plus de cinq mille personnes affamées avec cinq pains et deux poissons. Lorsque tous avaient mangé à leur faim, il restait encore douze paniers de nourriture. Les pêcheurs attrapaient de grandes quantités de poissons lorsque les filets étaient jetés sur son ordre. Un jour, Jésus a rencontré dix lépreux qui avaient entendu parler de sa renommée. Ils se sont écriés : « Maître, aie pitié de nous. » Par sa parole, ils ont été guéris.

De grandes foules suivaient Jésus chaque jour, qu’il soit en ville ou sur les routes. Les gens étaient bénis par ses paroles aimables, sa gentillesse, sa compassion et les miracles qu’il accomplissait.

Il a commencé à dire au peuple qu’il était le Fils de Dieu et que Dieu était son Père. Tous ceux qui ont cru à ses paroles ont été bénis. Il a dit à ceux qui croyaient qu’ils étaient enfants de Dieu.

Jésus a dit à ses disciples : « Je vais vous préparer une place. Et quand je serai parti, et que je vous aurai préparé une place, je reviendrai, et vous prendrai avec moi, afin qu’où je serai, vous y soyez aussi » (Jean 14.2-3). Cette place au ciel est pour tous les vrais chrétiens.

« Venez, vous qui êtes bénis de mon Père, possédez en héritage le royaume qui vous a été préparé dès la fondation du monde » (Matthieu 25.34).

Jésus est mort pour nos péchés

« Et quand ils furent arrivés au lieu appelé Calvaire, ils le crucifièrent là… » (Luc 23.33).

Les scribes et les pharisiens étaient très irrités par Jésus et son enseignement. Il leur reprochait souvent de rechercher les honneurs et de se livrer à des pratiques illicites pour gagner de l’argent. Ils étaient très jaloux et envieux de Jésus, parce que tant de gens croyaient en lui, le suivaient et le louaient. Ils craignaient que le peuple ne fasse de Jésus son roi.

Ils ont essayé de faire dire ou faire à Jésus des choses qui feraient perdre la foi aux gens, mais Jésus était trop sage. Leur haine et leur colère se sont accrues au fur et à mesure que la popularité de Jésus augmentait. Elles sont devenues si grandes qu’ils ont projeté de le mettre à mort.

Ils ont traîné Jésus devant les tribunaux et l’ont accusé d’être un malfaiteur et un blasphémateur. Ils ont porté de nombreuses fausses accusations contre lui. Puis ils l’ont emmené chez Ponce Pilate, le gouverneur romain de Judée. Pilate n’a rien trouvé à redire à Jésus et a décidé de le relâcher. Mais les accusateurs de Jésus se sont transformés en une foule en colère et ont crié : « Crucifiez-le ! Crucifiez-le ! » Pilate a entendu leurs cris de colère et leurs menaces ; il a cédé à leurs exigences et a livré Jésus pour être exécuté. Ils ont mis une couronne d’épines sur sa tête et, par dérision, l’ont appelé roi. Ils lui ont craché au visage et l’ont battu cruellement. Enfin, ils l’ont cloué sur la croix et l’ont laissé mourir.

Jésus a été mis à mort alors qu’il était innocent, tout comme l’agneau qu’Abel avait offert sur un autel des centaines d’années auparavant. Abel avait offert son agneau comme symbole de l’agneau de Dieu qui mourrait pour les péchés du monde. Les prophètes d’autrefois avaient également prédit la souffrance et la mort de Jésus. Jean-Baptiste a dit : « Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde » (Jean 1.29). « Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » (Jean 3.16).

Jésus est ressuscité des morts pour nous libérer

« Il n’est pas ici, car il est ressuscité, comme il l’avait dit. Venez, voyez le lieu où le Seigneur était couché » (Matthieu 28.6).

Le troisième jour après la mort et l’ensevelissement de Jésus, qui était le premier jour de la semaine, plusieurs femmes se sont rendues au tombeau pour oindre son corps. Comme il était très tôt le matin, elles ont été surprises de trouver un tombeau vide. Le corps de Jésus n’était plus là ! Elles avaient le cœur troublé. Soudain, deux anges se présentèrent à elles, en vêtements éclatants, et dirent : « Pourquoi cherchez-vous parmi les morts celui qui est vivant ? Il n’est point ici, mais il est ressuscité » (Luc 24.5-6). Elles se sont empressées de retourner raconter aux disciples ce qu’elles avaient vu et entendu. Les disciples n’ayant pas cru à leur histoire, Pierre et Jean sont allés enquêter par eux-mêmes. Eux aussi ont trouvé le tombeau vide. Ils sont entrés et ont vu les vêtements de lin et la serviette bien pliée qui avait été enroulée autour de la tête de Jésus. En voyant ces choses, ils ont cru à l’histoire des femmes. Le soir du même jour, les disciples étaient réunis derrière des portes closes, car ils craignaient les Juifs. Soudain, Jésus s’est présenté au milieu d’eux et leur a dit : « La paix soit avec vous ». Il leur a montré ses mains et son côté transpercés. En voyant le Seigneur, ils se sont réjouis et ont cru que c’était le même Jésus qui avait été crucifié et qui était ressuscité des morts. Après cela, Jésus s’est montré à de nombreuses personnes comme preuve de sa résurrection.

Le matin où Jésus est ressuscité des morts reste le jour le plus glorieux de l’histoire ! Ce jour-là, le merveilleux plan de salut de Dieu a été achevé. Ce plan de salut opère un changement dans le cœur et la vie des hommes par la grâce de Dieu, par la foi en la mort et la résurrection de Jésus. « Si donc quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature ; les choses vieilles sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles » (2 Corinthiens 5.17). Désormais, tous ceux qui reçoivent Jésus dans leur cœur et le suivent docilement toute leur vie ressusciteront et vivront éternellement au ciel. Jésus a dit : « parce que je vis, et que vous vivrez » (Jean 14.19).

Ce message parle-t-il à votre cœur ? Quelle est votre réponse ? Allez-vous vous repentir et croire à l’Évangile ? « Il n’y a de salut en aucun autre ; car sous le ciel il n’y a pas un autre nom, qui ait été donné aux hommes, par lequel nous devions être sauvés » (Actes 4.12). Ne tardez pas. Venez à Jésus aujourd’hui.

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Le cri de l’âme

Que signifie ce battement de cœur?
Cette recherche constante de paix et de repos?
Cette solitude que j’éprouve?
Je me mêle à la foule
Et ce vide douloureux se fait ressentir ;
Son cri est si réel!

Monde insensé, peux-tu soulager cette souffrance?
Tes grands magasins, pourraient-ils me fournir du repos?
Eh bien, étouffe ce cri ardent!
Hélas! Les richesses, la gaieté, l’orgueil
Ne procurent pas le vrai bonheur, ils ne parviennent pas à satisfaire!

Oh! C’est mon âme! C’est son cri!
Tu vois que la mort éternelle est proche,
À moins que Dieu te donne le repos!
Il t’a faite, tu lui appartiens :
Ainsi, tu veux être délivrée de tes péchés,
Pour vivre éternellement près de lui!

Oh! Que je suis misérable! Je suis perdu!
Mon âme est séparée de Dieu!
Seigneur, aie pitié de moi!
Écoute! Une voix m’appelle :
«Cher pécheur, j’ai porté ton iniquité,
J’ai versé mon sang pour toi!

Ceux qui viennent à moi, je leur donnerai le repos,
Et la paix dans leur coeur,
En moi seul, ils peuvent les trouver.»
Je viens, Seigneur, je viens maintenant!
Au pied de ta croix je me prosterne joyeusement ;
Je me livre entièrement à toi!

Texte complet de: Le cri de l’âme

Au Calvaire je reçois cette douce paix!
Mon fardeau disparaît, mon âme est libérée!
Et je veux y rester à tout jamais!
Oui, Jésus a apaisé ce cri ;
Mon âme a une place dans la maison de mon Père,
Et elle attend ce jour heureux!

Si Jésus ne vit pas dans votre cœur, vous connaîtrez peut-être le «cri de votre âme». Il est possible que vous ne compreniez pas tout à fait ce désir profond. C’est votre âme qui réclame Dieu à grands cris. Il l’a créée et elle s’étend vers lui. «L’homme devint une âme vivante» (Genèse 2.7 [Nouvelle Version Segond Révisée] ; Ecclésiaste 12.9). Votre âme vivra pour toujours—éternellement. 

Sur toute la surface de la terre les hommes sont agités, courant de long en large, cherchant les plaisirs au lieu de venir à Dieu pour qu’il les aide. Dans le vain espoir de soulager ce vide douloureux, des hommes et des femmes, des garçons et des filles abandonnent leur pudeur, leur honnêteté et toute autre vertu. L’homme charnel essaye de combler ce vide en poursuivant «la convoitise de la chair, la convoitise des yeux, et l’orgueil de la vie» (1 Jean 2.16). C’est triste de penser que ces désirs entraînent des millions et des millions de personnes de plus en plus loin dans l’immense piège de Satan. Au jour final, elles feront face à la vérité perçante que la vie charnelle et pécheresse n’était rien qu’une illusion. En effet, à la fin de leur vie elles seront jetées dans l’abîme ardent de l’enfer (Luc 16.26). L’enfer! Là, ils souffriront des angoisses et des tourments indicibles pendant une éternité sans fin. (Voir aussi Matthieu 25.41 ; Apocalypse 20.10-15 ; 21.8.)

Aujourd’hui, la grâce de Dieu permet au pécheur de venir au Seigneur pour obtenir pardon. Votre âme aime Dieu et aujourd’hui, si vous tremblez de crainte et si vous cherchez la paix et le repos, venez à lui. Le péché vous sépare de Dieu. Seul Jésus, le Fils unique de Dieu, peut vous sauver (Jean 3.16). Il désire vous sauver, lui seul vous donnera du repos pour votre cœur et votre esprit. Il vous invite tendrement : «Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos» (Matthieu 11.28).

Jésus a souffert et est mort sur la croix pour racheter nos âmes (1 Pierre 2.24). Nous étions coupables! La justice exigeait la mort de tous—même la mort éternelle. Grâce à la rédemption, la mort a été engloutie dans la victoire (1 Corinthiens 15.54). Jésus était innocent, «voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde» (Jean 1.29). Il a tant aimé les âmes des hommes qu’il a accepté de quitter le trône de son Père pour venir sur la terre et prendre part à la nature humaine. Il est mort sur la croix pour le pardon de nos péchés. Il a versé son sang «afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle» (Jean 3.15).

Beaucoup de gens pensent qu’ils seront sauvés à cause du fait qu’ils croient en Jésus. C’est vrai, il faut que nous croyions en lui, mais «la foi sans les œuvres est inutile» (Jacques 2.20). Jésus lui-même dit : «Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux» (Matthieu 7.21).

Si votre âme est troublée et si vous craignez l’éternité ayant des péchés dans votre cœur, venez à Jésus, demandez-lui de vous les pardonner et de vous purifier de tout iniquité. Aucun péché n’entrera au ciel. «L’âme qui pèche, c’est celle qui mourra» (Ézéchiel 18.4). Mais prenez courage! «Venez et plaidons! dit l’Éternel. Si vos péchés sont comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige ; s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine» (Ésaïe 1.18).

Il est possible que vous sentiez l’Esprit de Dieu frapper à votre cœur alors que vous lisez ces paroles. Venez à Jésus—maintenant! Il est prêt à vous pardonner, à vous affranchir de l’esclavage du péché et de la crainte. 

Pour répondre à l’appel de Dieu, ouvrez-lui votre cœur. Reconnaissez le fait que vous êtes un pécheur sans espoir et que vous êtes perdu éternellement. Croyez que votre seule espérance se trouve en Jésus qui a souffert et est mort pour vos péchés. Vous éprouverez alors une tristesse profonde à cause de vos péchés. Lorsque vous vous repentez et vous engagez entièrement à Dieu, il vous pardonnera. Vous ressentirez la tranquillité et la paix qui satisferont le cri de votre cœur. Il est important que vous obéissiez au Saint-Esprit qui dirigera votre vie. Il vous guidera à confesser vos péchés et à restituer ce qui est nécessaire. C’est cela, la nouvelle naissance dont Jésus parle dans Jean 3.3. 

Ceux qui sont nés de nouveau reçoivent une nature nouvelle, des désirs nouveaux et un cœur rempli de l’amour de Dieu. Jésus, à travers le Saint-Esprit, réside dans le cœur d’une telle personne. Ainsi, le désir de votre âme sera comblé dans la communion avec son Créateur! En restant humble et obéissant au murmure doux et léger de l’Esprit de Dieu, cette personne sera dirigée dans la voie qui conduit à la félicité éternelle. 

Une fois de plus, permettez-nous de vous supplier—ne viendrez-vous pas à Jésus aujourd’hui? N’étouffez pas «le cri de votre âme»! Dans ce monde troublé, où les péchés abondent de tous côtés, vous pouvez avoir la douce paix et le repos!

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